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Lorris en Images

Tourisme - Lorris

Les personnes célèbres
 

  • Le Général Cousin s'était engagé en 1870 à l'âge de 16 ans, ensuite il alla à Saint-Cyr où il a fait une carrière bien moins brillante qu'elle aurait put être (Il lisait la libre parole et était un partisan enthousiasme de Drumond). Il était près de Gallieni à Paris pendant la guerre de 1914. A ce titre il eut la fierté de décoré son fils, blessé en septembre 1914.
     
  • Léon Pallière Artiste peintre 1823/1887 
     
  • Louise Astre Chavanneau veuve Pallière 1830-1922 peintre sous le nom de Blanchard
     
  • Du Temple (Jean-Marie Félix de la Croix) marin français (Lorris1823-1890 frère de Du Temple Jean-Louis Antoine Rivallon de La Croix marin et savant Français né à Châteauneuf-sur-Loire (1819-1889).
     
  • Jean-Marie Félix de la Croix se distingua en Crimée (1855), puis à la tête de fusilleurs marins en Italie (1859) et au Mexique. Il commandait en 1870, une brigade du 21ème corps à l'armée de la Loire. Député d'Ille et Vilaine en 1871 ardent Royaliste, il contribua à la chute de Thiers et en 1874, au renversement de De Broglie.
     
  • Son frère directeur de l'école des mécaniciens de Brest se spécialisa dans l'étude de la navigation à vapeur et prit sa retraite en 1875, après avoir défendu le département de la Nièvre en 1870. On lui doit des ouvrages scientifiques.
     
  • Henri-Nicolas Belleteste, décédé à Lorris le 17 mai 1808 à l’âge de 30 ans.
     
  • Abbé Michel Chausson : Président-fondateur des Amis de l’orgue de Lorris, découvreur de l’instrument d’exception daté de 1501 qu’il fit restaurer superbement. Natif de 1927 à Châtillon-Coligny y était ordonné prêtre en 1952, avant d’être nommé pour 4 ans au lycée Saint-Louis de Montargis, puis à la paroisse Sainte Madeleine jusqu’en 1970. Cette année-là, il gagnait la paroisse de Varennes-Changy. En même temps, il retrouvait l’orgue de Lorris, saccagé lors d’une soirée de Noël malheureuse par un organiste fou (ou jaloux) et entreprenait de le faire remettre en état par Georges Kœnig, facteur d’orgue de Sarre-Union. Dès lors, l’abbé Chausson consacrait de plus en plus de temps à cet instrument et le faisait connaître internationalement.

LA CHARTE DE LORRIS

Situation confuse écriraient les chroniqueurs actuels pour retracer la position politique des premiers Capétiens; ce qui ressort en tous les cas, c'est que le Roi n'était non seulement pas le maître absolu dans son royaume, mais encore qu'il avait bien des difficultés à régner sur son propre domaine.

La France, en effet, était divisée en Comtés ou Duchés importants et le Domaine Royal ne comprenait qu'une mince bande de territoire correspondant environ à l'Ile de France.

Dans ce domaine figurait le Gâtinais qui avait été acquis grâce à une astucieuse médiation de Philippe 1er en 1066 lors d'une guerre entre les deux frères Foulques Rechum et Geoffroy le Barbu et, dans ce Gâtinais "version d'époque" se trouvait le village de Lorris, altération de Lauriacum, Loriacum, Lorriz.

Se rendre de Paris à Orléans sans encombres était l'ambition du Roi de France au début du XIIè siècle ; sur les routes royales en effet, les châtelains dévalisaient les marchands et les pèlerins, et les Seigneurs suzerains ou vassaux se livraient à d'incessantes luttes au cours desquelles les vilains n'étaient point épargnés.

Aux ravages de la guerre s'ajoutait un ('système fiscal" déjà mauvais qui regorgeait d'impôts de toutes natures: directs, matériels, voire physiques, tombant drus et sans mesure sur les épaules des contribuables, Premier percepteur, le Seigneur arrivait en tête, suivi du sénéchal, puis du prévôt et enfin des sergents royaux qui saisissaient hommes et bêtes, et avaient (écrit M. Prou) amené à rien le Domaine de Beaune-la-Rolande, naturellement fertile en vin et en froment.

Les paysans ne pouvaient plus suffire à payer les impositions dont on les chargeait de toutes parts et, quoique patients et résignés, certains se révoltèrent; ceux de La Cour-Marigny marchèrent les armes à la main à la rencontre du petit Seigneur de Châtillon-sur-Loing, ceux de Viry-Châtillon revendiquèrent contre le prévôt et les Chanoines de Notre-Dame de Paris, réclamèrent notamment... le droit de choisir librement leurs épousées.

Agriculture et commerce dépérissaient, les populations commençaient, nous l'avons vu, à se révolter, elles abandonnaient la campagne, les terres restaient en friche, les marchands ne circulaient plus, les produits agricoles augmentaient , l'avenir du pays était fort compromis.

Devant cette situation désastreuse, Louis VI le Gros, qui venait d'être couronné à la Cathédrale Sainte-Croix d'Orléans, vit aussitôt le danger qu'encourait son autorité et tint à s'attirer les sympathies du menu peuple par une générosité bien calculée.

Face au régime féodal dont il était issu, il lui fallait se soumettre ou être mangé par lui, Louis VI choisit la première solution qui devait marquer le début de la période d'activité de la Monarchie Capétienne. Son père, Philippe Ier "que le Seigneur de Montlhéry empêchait de dormir" lui avait maintes fois indiqué le donjon comme le premier obstacle à renverser. Louis VI entreprit donc des opérations de Police militaire destinées à nettoyer le pays : écrasant le Seigneur du Puiset "rapace comme un loup", s'emparant du château de Meung-sur-Loire, capturant le donjon de Saint-Brisson, en s'alliant parfois au cours de ces "commandos" au mouvement communal déjà existant. Mais si le Roi favorisait l'établissement de communes chez les Seigneurs de son royaume, s'il combattait les brigands féodaux avec l'aide des milices, il conservait le souci de garder l'autorité entre ses mains, ne voulant pas s'exposer à créer une féodalité bourgeoise, comme en Flandre, en Allemagne ou en Italie où les villes libres et les Républiques ont pullulé. C'est donc en partie pour mettre fin aux abus de pouvoir, mais également pour affaiblir un régime féodal trop envahissant et pour augmenter la source de ses revenus, que LouisVl octroya les Chartes de Coutumes. les habitants de Lorris l'obtinrent de Louis VI, mais seul subsiste le texte de 1155 dont le diplôme de Philippe-Auguste est la reproduction intégrale. Encore ne convient-il pas de penser que les habitants de Lorris avaient en mains aux XIè et XIIè siècles la gestion des Affaires Municipales; toute l'administration était entre les mains du prévôt, mais ce dernier légiférait uniquement dans le cadre privilèges octroyés par le roi.

La Charte de Lorris comprenait 35 articles parmi lesquels on peut notamment relever :

Article ler: Quiconque aura une maison dans la paroisse de Lorris paiera seulement 6 deniers de cens pour sa maison et pour son arpent de terre s'il en a un ; et s'il acquiert cet arpent qu'il le tienne au cens de sa maison.

Article sept.' Les amendes de soixante sous sont réduites à cinq sous, les amendes de cinq sous à douze deniers et le Clain du prévôt à 4 deniers. (Le Clain du prévôt : ce n'était pas une amende proprement dite, c'était l'indemnité payée au prévôt par les parties qui en appelaient à son tribunal

Article quatorze: Si des hommes de Lorris ont donné follement des gages de duel, et qu'avec l'assentiment du prévôt ils se soient accordés avant de donner des cautions, chaque partie paiera 2 sous et 6 deniers, et si les cautions ont été constituées chacun paiera 7 sous et 6 deniers. Si le duel a lieu entre champions légalement constitués, les cautions du vaincu paieront 112 sous.

D'où le proverbe bien connu :

'C'est un proverbe et commun dis

Quoiqu'on ait juste demande

Qu'en la coutume de Lorris

Le battu paie l'amende,

Article vingt-cinq.' A Lorris, il n'y a pas d'obligation de sewice de guet.

Article vingt-neuf.' Les habitants de Lorris prennent le bois mort pour leur usage, excepté dans la partie de forêt réservée à la chasse.

Article trente-cinq.' Chaque fois qu'un prévôt sera changé à Lorris, il jurera, l'un après l'autre, qu'il gardera fermement toutes ces Coutumes, et de même pour les sergents chaque fois qu'ils seront changés,

 

Forêt d'Orléans - Massif de Lorris

 

IMMERSION SONORE AU CARREFOUR DE LA RESISTANCE 

Un carrefour chargé d’histoire..
Rebaptisé Carrefour de la Résistance après 1944, le carrefour d’Orléans a toujours constitué un lieu de vie au cœur de la forêt. Grâce à cette application inédite, écoutez des tranches d’histoire vécues par le séquoia centre du carrefour (1880-1999).
A vos écouteurs pour plonger dans l’histoire animée du carrefour le plus ancien et le plus connu de la forêt d’Orléans !
Il vous suffit de télécharger gratuitement l’application iphone « Du carrefour d’Orléans au Carrefour de la Résistance » à partir d’une connexion wifi sur l’appStore, ou en flashant ce QRcode.

Eglise Notre Dame de Lorris

L’Eglise est des XIIème et XIIIème siècles, édifiée sous l’influence des Moines de Saint-Benoît, a été modifiée et agrandie au cours des siècles. Saint Louis la plaça sous la protection de Notre Dame.

Selon l’Abbé Patron, elle a été construite au Xème siècle en l’honneur de Saint Etienne.
En 1111, Louis VI  le Gros  l’agrandit, elle n’a été terminée qu’un siècle plus tard sous Saint-Louis, puis à la suite de l’incendie de 1187 Philippe Auguste l’entoura d’un rempart qui résista jusqu’à la guerre religieuse du XVIème siècle.

En 1170/1180, une grande fenêtre est percée dans la façade occidentale.
En 1297, la chapelle Saint Louis a été fondée dans l’église paroissiale par Philippe le Bel au moment de la canonisation de son grand-père Louis IX. 

Plusieurs styles tout à fait différents y apparaissent et donnent une idée de son histoire.

Par exemple :

  • Un porche roman du XIIème est surmonté d’une baie du XIIIème siècle, puis d’une construction en briques datant de la Renaissance.
  • La tour à quatre auvents est complétée par une lanterne depuis le XIXème siècle.
  • Les Fonts Baptismaux sont de marbre.
  • La statue “La Vierge et l’Enfant” de marbre a été offerte par Saint-Louis à la ville de Lorris et est l’une des plus belles du Diocèse d’Orléans, classée monument historique.
  • La chaire et le banc d’œuvre sont du XVIIème siècle.
  • Les vitraux datent d’après la guerre de 1940 sauf les 4 premiers représentant les portes de Lorris qui sont antérieurs à 1870.

Le ministre de l’Instruction Publique et des Beaux Arts inscrit sur la liste des Monuments Historiques l’Eglise, la Tribune et le Buffet d’Orgues en 1903, l’inscription sera définitive en 1908.

Orgue de l'église Notre-Dame (1501 et début XVIIème siècle)

L’ORGUE de 1501 est classé  Monument Historique, il est accroché à flanc de nef, situé dans l'une des plus belles églises du Loiret et compte parmi les plus anciens d'Europe.
L'ensemble buffet-tribune et une partie de la tuyauterie datent du XVIème siècle. 
La partie mécanique  de l'orgue dont on peut entendre les jeux datent partiellement du XVIIème siècle (classée Monument Historique en 1971). 
Abandonné au XIXème siècle l'Orgue a été restauré de 1970 à 1974 par KOENIG, facteur d'orgues (de Sarre-Union).
Plaisir pour les yeux, cet orgue est aussi un régal pour ceux qui viennent l'entendre lors des concerts d'été. Orgue d'un clavier manuel de 48 notes et de 13 notes pédale en tirasse.

Hôtel de Ville de la fin XVème et début XVIème siècles

Sur la façade principale, les murs portent des dessins alternés de briques rouges et noires.

Pour le rez-de-chaussée, des chevrons et au premier étage des losanges. La porte est flanquée de pilastres de pierre et les ouvertures sont des baies dites “à meneaux”.

La façade ouest porte elle aussi des dessins de briques mais en losanges seulement, au milieu de l’édifice, nous pouvons admirer une jolie tourelle octogonale accolée renfermant un magnifique escalier en vis. Disposition heureuse que cette tour qui rompt l’ordonnance du bâtiment.

Cet Hôtel de Ville est couvert de toits à la française avec des lucarnes géminées ouvragées, surmontées d’un entablement et d’une attique décorée.

Sur la gauche du toit, un petit personnage tient un écusson avec un “L” et 3 Fleurs de Lys.

En 1689, Abraham Caillard vend la partie droite de l‘édifice à Monsieur Lesergent. En 1752, les deux propriétaires de la mairie sont le Seigneur de la Plissonnière et Monsieur Hervy.

Le 29 juillet 1792, une émeute détruit le mur de façade, les fenêtres et les portes de la mairie.

Le 16 mars 1799, Jean Baptiste de Villemort achète une moitié de la mairie qu’il possède encore en 1802. En cette année les héritiers de la Plissonnière vendent leur partie de l’édifice à Nicolas Poinloup. Le 21 avril 1802, Happard achète la moitié à De Villemort et le 12 septembre 1803, Catherine Gaudin acquiert une moitié à Sébastien Happard ; de ce fait, la totalité du bâtiment lui appartient.

En 1814, sont faits des travaux de réparation destinés aux bureaux de la Mairie et à la Justice de Paix. En 1820-1821, apparition de la lucarne côté jardin pour l’installation de la Salle de Justice de Paix et de l’Ecole. La ville de Lorris a racheté cette demeure à Mr Happard en 1821 afin d'y établir la Justice de Paix et la Chambre d'Ecole ainsi qu’un logement pour l’instituteur. En 1834, la répartition des fenêtres de la mairie est changée, on surélève le bâtiment.

Le mur détruit en 1792 est remplacé par une grille portée par un muret en 1853.

En 1883, la mairie est restaurée, Dussère fait remettre en place les meneaux et les traverses des baies enlevés au XIX° siècle. Le 28 Novembre1884, projet de restauration de l’Hôtel de Ville. En Septembre 1891, les travaux de restauration de la mairie sont terminés.

Les couleurs de la mairie sont rafraîchies en 1972.

 

MUSEE DE L'ORGUE DE LORRIS

Les Amis de l’Orgue de Lorris
3 rue de l’église – 45260 LORRIS
Président : Pierre FLORIAN
tél. 02 38 94 80 65
orgue.lorris@orange.fr
www.lorris.org


Visite du musée sur réservation en dehors de juillet et août.
Auditions et visites sur réservation tous les dimanches après-midi à partir de 15 h en juillet et août 
(hors soir de concert du festival)
Association créée le 27 mai 1975 afin de contribuer au développement et à l'entretien de l'orgue de Lorris, engager tous organistes, contribuer au développement culturel, musical par le moyen de concerts, conférences.....

 

MUSEE DEPARTEMENTAL DE LA RESISTANCE ET DE LA DEPORTATION

Esplanade Charles de Gaulle – 45260 LORRIS
tél. 02 38 94 84 19 

musee-lorris@loiret.fr 
www.museelorris.fr

Lors de la Seconde Guerre mondiale, le département du Loiret fut l’un des hauts lieux de la Résistance et paya un lourd tribut à la déportation. Ainsi, grâce à la volonté des anciens résistants et des déportés, un musée « d’histoire et de mémoire » sur cette période a ouvert ses portes en 1988 avec le soutien des collectivités locales.
Aujourd’hui, ce site vous accueille, toujours plus riche de multiples documents, et vous propose de découvrir les différentes facettes de la Seconde Guerre mondiale d’un point de vue national, international mais surtout local

Ouverture pour les visiteurs individuels 2018 : les 20 et 21 janvier (de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h), les 17 et 18 février (de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h), le 27 février (de 14 h à 17 h, ateliers à 14h30), les 17 et 18 mars (de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h), le 6 mars (de 14 h à 17 h, atelier à 14h30), les 15, 28 et 29 avril (de 10 h à 12 h et de 14h à 17h), les 17 et 24 avril (de 14 h à 17 h, ateliers à 14h30), les 8, 19 et 27 mai (de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h), les 2 et 9 mai (de 14 h à 17 h, ateliers à 14h30),  tous les jours en juin (de 14 h à 18 h), tous les jours du 1er juillet au 31 août de 10h à 12h et de 14h à 18h (fermeture billetterie à 17 h 30) ainsi que les 15 et 16 septembre à l'occasion des Journées européennes du Patrimoine, les 14, 20 et 21 octobre (de 10 h à 12 h et de 14 h à17 h), les 23 et 30 octobre (de 14 h à 17 h, ateliers à 14h30), les 8 et 9 décembre (de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h).

Tarifs 2018 : adulte à partir de 18 ans 6 € - tarif réduit 2 € (enfants de moins de 18 ans, billets des sites partenaires (Sully, Chamerolles, Gien et Châteauneuf sur Loire), personne handicapée, famille nombreuse, demandeur d'emploi) - tarif groupe à partir de 10 personnes 3 € - prestation guidage 40 € (1 guide pour 20 visiteurs)

Exposition "tous les couleurs de la liberté, la Résistance vue par la bande dessinée 1944-1949" (Exposition conçue par le Musée de la Résistance Nationale de Champigny sur Marne) du 14 juillet au 31 août 2018

MUSEE HORLOGER GEORGES LEMOINE

4 rue des marchés – 45260 LORRIS
(Entrée par l'Office de Tourisme sous la halle)
tél. 02 38 94 85 75

contact@musee-horloger-lorris.fr
www.musee-horloger-lorris.fr

Créé en 1995 par Madame Dubernet, fille de M. et Mme Georges LEMOINE, il présente le cadre de travail d’un artisan horloger en milieu rural dans les années 1930-1960.

Une belle collection d’outillage, dont quelques machines du XIXème siècle.

Des montres, des réveils, des pendules et l’horloge monumentale du clocher de l’église de Lorris, construite en 1861 et restaurée par quelques amateurs passionnés.
 

L’atelier à pendule : Ouvert aux jeunes, adultes ou retraités, amateurs d’horlogerie intéressés par la pratique de la restauration et de la conservation de pièces d’horlogerie ancienne. Animé par les membres de l’association «Musée Georges Lemoine», qui font appel régulièrement à des professionnels ou des amateurs particulièrement éclairés, pour perfectionner les connaissances de chacun (Travail de restauration et de présentation des objets du Musée. Initiation aux techniques de «rhabillage» des mouvements anciens. Perfectionnement pour ceux qui ont déjà une certaine expérience.)

Activité de loisirs, l’atelier à pendule n’est pas un atelier commercial de réparation.

Dépliant en téléchargement ici.

  • Randonnées Pédestres

    • 2 circuits de petite randonnée existent sur le Canton de Lorris.
    • Venez découvrir notre canton et sa campagne.
    • La pochette des circuits pédestres est disponible au bureau d'accueil 
      de l'Office de Tourisme de Lorris.
    • L'Office de Tourisme de Lorris a créé 2 dépliants Idées de circuits pédestres 
      (au départ de Lorris et en forêt d'Orléans)
  • Randonnées Cyclotouristiques

    • L'Office de Tourisme de Lorris a créé 2 dépliants Idées de circuits cyclotouristiques 
      (au départ de Lorris et en forêt d'Orléans)
  • Randonnées Equestres

    • Pour ceux qui aiment l’équitation et la nature, plusieurs possibilités de parcours vous
      donneront accès, sur le territoire du canton de Lorris, à l'immense forêt d'Orléans
      (massif de Lorris), à la zone des étangs et du canal d'Orléans.

  

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